PREFACE DE FRANCIS CHEVASSU 11am 40 millc H. SIMONIS EMPIS, Editeur i F. a - “nu-w g¢¢~owi ‘c’ DES BONSHOMMES {Deu‘xiémesérie} P’TlTES FEMMES . MEMOIRES .D’UNE GLACE. FAUT VO’IR . MES CAMPAGNBS ' Y A DES DAMES ‘ETOILES DE MER. . MADAME EST SERVIE.‘ ' MES. 28 JOUES. g . / ;:~ : {ii-z ’ , ”if. 47”; '0 x 2 *\ , H,” “ K \‘\\\ ‘ 3 \ ~ :__ . H / \ \y 4 / _ , / \ « / / x (7/ ,'/ / / 1' 1‘]. \ ..I ,f/ // r l , . a , _. ’ i '1 I '7 " _//~ %fl 7’ ’ //l ‘ I / //:./ 1 ‘ ‘_ 7 ’ ' /// , / / . / Iv / , .. {.E7tfi [’1 % /,/' / , , , M , ’ /«/’ {11/ ’ ,7” v / ,4! ‘ ' 0 ,", I I 1 PREFACE DE FRANCIS CHEVASSU $1112 774$ PARIS H. SIMONIS EMPIS, EDITEUR TOUS DROITS RESERVES POUR To-Us PAYS Y compris 1a Suéde et la Norvége. 0% ”2/? m J { ALBERT GUIDDAUME , as) N raconte que M. Thiers observant, derriere les rideaux de \ ’ sa fenétre close, le mouvement insurrectionnel de 1848, dit avec mélancolie : —— Je regarde passer inon Histoirc de la Révolution frangaise! Ce préambule ne cache aucune velleite de parallele, nul hypocrite dessein de comparaison. Un tel projet ne serait mis an sérieux ni par l’Institut, ni par la Science, ni meme par l’Anthropométrie : Albert Guil- laume, en etTet, mesure 1 metre 94, de'daigne 1a Politique et ne pretend pas a écrire l’Histoire. Son léger crayon, si complaisant pour caresser un réve de plaisir fugace sur un ovale de petite femme, ou suivre, atravers les traits d’un gommeux chic, la piste d’une innocente fatuité, n’exalte jamais si haut ses ambitions. Quand 1e Petit Bourgeois, du premier e'tage de son riche betel, voyait passer 1e defile pittoresque qui lui expliqua sa propre histoire, il ressentit, sans doute, une satisfaction d’auteur; en tenant les rideaux un peu plus longtemps écartés, i1 aurait éprouvé une joie de philosophe, car i1 eut reconnu, en cette mascarade héro‘ique, des acteurs déja fixes, au vitriol, par trois autres grands historiens des moeurs de leur temps : Henri Monnier, Daumier et Gavarni. Parmi les Chicards habillés en réformateurs et les Pierrots exhaussés au Tragique, au milieu des Titis convie’s aux travaux de l’Histoire, les haillons de Thomas Vire- loque se detaChaient romantiquement sur la redingote bourgeoise de Joseph Prudhomme. Mais Henri Monnier et Gavarni étaient des Inoralistes du crayon : M. Albert Guillaume n’en est que le chroniqueur. Les personnages qu’il peut aper- cevoir, du petit entresol de la rue de Laval, derriere les rideaux de l’Intrépide Vide-bouteilles Charles D. . ., ”’” ‘ \ professent le plus parfait mépris de leur importance historique. Aucun ideal a la Jerome Paturot ne travaille sous les chapeaux luisants de ses boudinés impeccables; nul souffle me'lodramatique ne souleve les haillons de ses misereux hons enfants. On est certain de ne voir jamais ces bons diables mélés a aucun des mouvements qu’on prophétise, et d’ou doit sortir une Société régénére’e. Ils ne descendent dans la rue que pour aller au Moulin-Rouge. Ce n’est pas une tache facile de rendre, en des croquis dates, 1e mouvement extérieur du monde on You s’amuse, avec ses figurants exacts, ses actrices précises —— anno Domini 1893, Marianna 2 ALBERT GUILLAUME regnante —— en soulignant la conception que chacun d’eux se forme des e'légances. Albert Guillaume est parvenu a exprimer tout cela, et non pas avec l’ombrageuse rancune d’un juge qui catoie l’Orgie sans s’y méler, mais avec le tumultueux entrain d’un compagnon qui lui-meme « est de la bande ». Quand on feuillette ce joyeux album, dont chaque page semble étre un hymne a la Haute Noce, on songe invinciblemcnt au vers dc Beranger : Le plaz’sir rend [Tune 31' bonm.’ Jamais, en etTet, sous le luxe chatoyant de ses décors de fete, on me percoit la preoccupation dc découvrir, par un coin, 1e sinistre envers du tableau social. D’un crayon léger, dont un trait t'urtif suffit a faire sortir, des profondeurs d’une physionomie bonasse, un réve de fatuité sournois on 1111 aveu de magistrale niaiserie, i1 note les vaudevilles de l’Amour, les quiproquos de l’Adultére, tout le bonheur du Plaisir et toutes les gammes de la Joie de vivre. Examinez son (( Fiacre 117 )) : c’est un exemple entre cent autres de cette observation exempte de fiel. Ces sports extra-conjugaux, qui se compliquent, hélas! dans la vie, de tant de difficultés materielles, ne de'gagent la que des impressions reposantes : le chien est gai, le sergent de ville protecteur, lc cocber paternel, —— la voiture propre. Celle complaisance —— j’allais écrire cette complicite -—- avec... comment dirais-je‘? 1e vice? le mot est un peu gros pour signifier ces riches exubérances de jeunesse... — avec le Plaisir; cette indul- gence :21 rendre le libertinage avenant et la bamboche cordiale pourront mérite ‘ ‘21 Albert Guillaume les re’serves des pasteurs protestants et des membres de << la ligue contre la licence >>. Un jour, un jeune auteur dramatique qui travaillait pour le Theatre—Libre et ne se marchan- dait pas les liberte’s auxquelles un semblable projet lui semblait devoir donner droit, exposait, devant 1111 de ces censeurs be’ne’voles, le theme d’une comedic 01‘1 l’on voyait un forban sympathique, avec un paisible et joyeux cynisme, parvenir a tout —- honneur et argent. —-— Mon Dieu, disait 1e Pere 1a Pudeur, un peu inquiet, c’est fort beau, mais ne pourriez— vous pas donner une legere satisfaction ‘21 1a morale en faisant perdre a votre héros une partie de sa fortune? -—— Je ne puis pas : c’est la moralité de ma piece. —-— Mais enfin, puisqu’il est bon pere, atteignez-le dans ses affections... en frappant sa fille d’une fievre typho'ide, par exemple? Pas plus que l’auteur cher a Antoine, Albert Guillaume ne souscrit a ces temperaments qui sont une maniere de politesse a la Providence. Dans aucun de ses dessins, on ne discerne cette pointe d’amertume qui est la rancon de la morale. Sa gaieté est d’une immoralité choquante, mais délicieuse. Son rire est toujours avec le coupable contre la victime. Il ne defend pas celle—ci, il ne la charge pas non plus, i1 lui pardonne. Le Cocu a retrouvé, grace a lui, son ancien caractére sympathique (on l'avait rendu méchant) : son dos rond porte avec bonhomie 1e fardeau des injures conjugales. Ses' jeunes gens sont gentils dans la confiance de leur beaute, ses Meres Cardinal affectueuses dans l’ofticiosité de leur dévouement, ses femmes adorables dans la candeur de leur cynisme. On sent une inconscience grandiose et paisible sous les molles ondulations qui encadrent leurs fronts polis. Elles semblent toutes possédées par le méme ide'al, synthétisé en ce dessin des Bonshommes, oh la jeune e'pousée, 2‘1 cOté d’un vulgaire mari, réve d’officiers tres sanglés dans leurs uniformes irréprochables. Nous les connaissons bien ces charmantes petites femmes :ce sont ces demi-mondainesdu Gil Bias, dont la psychologie serait si amusante a déméler, car elles ont les memes coiffeurs, les mémes coutu- riers, les mémes respects the'urgiques, et les mémes opinions réactionnaires. « Soldat, prétre ou laboureur >>, disait le marquis de Presles, qui fréquenta assidnment chez elles sur la fin de sa vie, —— maxime qu’elles ont traduite ' avoir un ami bien pensant, affichant un bel uniforme et quelque fortune territoriale. ALBERT GUILLAUME 3 Gavarni disait, par la bouche de la vieille loretle tombée au ruisseau : « Dieu garde vos fils de mes filles! >) Peut—on souhaiter des mattresses plus aimables et du meilleur ton qu’apparaissent les demoiselles d’Albert Guillaume, a de jeunes noceurs bien élevés ‘? Cette indulgence a observer la vie, cette fougue a rendre 1e plaisir, cette bienveillance sans arriere—pensée devant les malices et les trahisons de l’Amour ne confe'sseraient peut-étre qu’une fai— blesse: celle de l’innocuite'. Ces jeunes gens si pleins de santé et qui plaStronnent avec tant d’abon— dance, Forain les repincera, quinze ans plus tard, et les jettera sur le papier, 1e masque griffé par la patte d’oie, 1e jarret apaisé et l’échine lasse. Un soir que nous flanions au Pole Nord, un vieux viveur, qui se plait a associer ses pensées aux images de sa vie familiere, me dit : -— La difference qui existe entre Forain et Guillaume? C’est celle qui se'pare une promenade sur cette piste close d’une course sur la Neva! Il entre beaueoup de vérité dans cette boutade. La-bas ou chez nous l’exerciee, sans doute, est identique: mais ici l’endroit est couvert, des poéles heureusement dispose’s atténuent les piqures du froid et respectent la noblesse des fards, l’atmosphere est indulgente eomme la philosophic. Ainsi, dans ses variations élégantes, l’oeuvre d’Albert Guillaume de'gage je ne sais quoi (le confortable et de platonique. Chez son grand confrere, l’amour est une affaire sérieuse; chez lui, c’est encore un jeu. Jeu exquis, d’ailleurs, plein d’une verve prodigue et d’une superhe insolence de jeunesse. C’est l’Printemps... Cette esquisse — une des plus eharmantes des Bonshommes — a la porlee d’une enseigne: 1e vent guilleret qui souleve les jupes de sa gentille blanchisseuse circule a travers toutes les pages. C’est l’Printemps! A mesure qu’on feuillette ces croquis, légers et nets eomme de clairs refrains, i1 semble que revienne dans l’oreille, avec persistanee, la chanson lointaine de Chérubin quand i1 disparait, au cinquieme acte, derriere les marronniers du comte. Albert Guillaume a, sur l’offieier émancipé par Fanchette, l’avauce de quelques elapes: il a seduit d’autres Suzanne et berné d’autres Almaviva; Mais on sent encore, sous le cynisme le plus determine de son crayon, 1a surprise frissonnante, l’émotion joyeuse, l’extase étonnée de la premiere ivresse. C’est toujours, o Bartholo! le méme vieux toast de la Jeunesse a la Vie... Patience! Encore quelques étapes, — et un cheveu blanchi, un sourire fermé, un regard absent : l’expérience mettra une goutte de bitter dans la coupe de champagne. Ce jour-la, Albert Guillaume, qui est déja un de'licieux dessinateur, sera 1111 grand artiste. FRANCIS CHEVASSU. UNE VISITE DE JOUR DE L’AN "6;“ \ ‘\ ,. .\ «.\:\\\\\\)\\\\\\"§-.\ V \ “fix-M\\~§,\ ,,,,,,,,, FEMME DU MONDE // \ - %’// m f / ~ E x / 1",. ‘ A135“ L’AFFAIRE S’ARRANGERA... PAS DE BONNE FETE SANS LENDEMAIN ‘ . ' "// :/// / // V '/ // / i/l/ ’. H", x . / . ‘ \ ,, . é. WWW“: " 'x »:-" _. . . . . ‘ , -- ,... - . -.,....:'..‘.V.... ~ .A U .‘ ‘ .A,. ».-..,~. -n‘ m "Va-u...» - 7“. FEMME PEINTRE JI/Iru/Hi!”'““ my , ' W I? ’ a: l. ., . . ///I/ a r . 5 g, . /./ nx// , ,/ ///V///// ,/a r / . ~ J ”WWW , Ilium I Hmmmrm ,’ «(I ‘ l. ‘ 1 /- WW .r' 2’ l . . PAUVRES PDTACHES \ l 1' / F I, I 4&2 92W, J I \\\\\\\§n\fi' MAIS C’EST DANS LE TEXTE ‘3‘ 1. g COMMENT ON REVEILLONNE . 4mm * W "1% //’\\‘ \ __ LEN“ MONSIEUR RENTRE DEMAIN! C’EST LE PRINTEMPS! ' LE MACARONI REVELATEUR I \__;-..‘ /_. Ly ._ \._\‘ 1V) \ x/ ,« OMS \ RA/AC / 0% -RESTAUP\ com .R STA W sva S F Ufim 40 1"¢' r 4,); (Q7 _ a “I”; l ”(4 ‘ L \ irig .t. ”UN“ 17‘ «x s s x//.\ J \ “wx BILLET CIRCULAIRE ILLUSIONS PERDUES 3 ‘a BILLET DE LOGEMENT L \ gem . ““4 ’ MADAME CHASSE ’fi&\ w"" , a , . ‘ , 3/, " FVH: /‘ [“f,f" ,' 1‘. V J, ‘ .1' ’l - :4 V, , ‘1‘ ‘ “L I / \ 4 s \ ' l I' ' I C / ’ '9 ............ \A .. '|' 1, ‘ ~ I K s", -. 4:“\\ c .3 ‘ AU BAL DES QUAT—Z-ARTS \ . fix... . .. \\..“.-\...~ AWFKXR‘}. . .. a . ...» . M .. . . .. A‘xKv re}... \em . \E .H.... ..u. . . .. Wu... xx. .. ,. .. ..., / . ,. / _. mm. . ., if. ...n . .46 ammuwflwwla .. C ,7 . . p 4. ... ,1, . ...; c . .. .. .. u.— « ... .. . . nu... .. _. , . .... _ . , . . . . . _ .. u , K.— , ...... .. ... . . .... .0 . ... . . .. . I . . . q. .. .u . _ .n A . ..v . , .. .. .. u... ‘ . ... .. .... I .h x . .. ,1 . ... . . M . . «2.... i / . I. I. l. rflfvwflfi . . I . ‘ .\; C y ..Ej . 4.1.7‘. _ V . .. EC». ...» ._ H. .. . . .C\\ I t . , . . \ . _ . .n 16.1} DEUX POULES [VIVAIENT EN PAIX... r l. V/\! / u \u\ ‘9\ Cv “u ‘ \C‘z a»? f 1 l . a‘ ‘ ti-4 -- nun...“ ----- , , ‘ , ‘*_ _ " ‘ b I! 1W"!(/l‘l’lW' ‘ I II ......-..... ......... "w W - 4 . JA-U, w'! I 135424., » IN» . .1; m II I‘ ENGAGEMENT UN "~-,-- 4”,, a...“ . ‘ A '}-> u v m- . ECLE MONTGOLFJERE FIN DE SI _..¢ 9.3.. .4 - max-”Lb. «rm :.~¢-. "r‘ $1 -—.—. f. .__=- \ \ -‘ .- PC. A. a 5" i. . ‘5' a , . .r /7 r a _ , .0 L .mp‘hfltfl.‘ \. a g .— 5 ., w. _ \ H 1 . WWW u ‘ ‘ _ _ 12.8.3me 1: _\ . mg. a: a“; a A 1.! \Illljln. .l *- il'. l "HAIR”? , s c p I, 4. I ._ - m...” Jig/LR,” -- nay I‘ll-Jun!" A D . r . , I k I ~ ””11 ufl 1’ If! , ’44. Elam; r3; 1.. . » 5:“ ‘L Afr“ 311‘ .. ‘ , . . ‘ I REGRETS ETERNELS ‘ ”QK/ /(A\\\\ \fl; ‘ “(SN m 7 - W m fflJJJIH/ , "“"Ssllfl ~. “him . . - fl" \‘7 f .3 '- “ ‘9 ' ,..::1‘-11 """"" 7 f .. Ms. 4. m __._ k _ r _ ,. “2/ '4 . ,.......~"’/;/:’j/ ‘5' fi/‘/ V511, ‘4’ ' ‘3 IE \ V / \5, , ”(. Clo-.-.o“l" ‘ '- ' ,. ........ ~ » a v r. l i‘“ ‘ .4 n.‘ I ’:' ' ‘ ’ ’- \x~/ .( 1 5:“ :_ dlflh‘s ........ . .-. ) \ 4 @ a" ’I‘flfigzé' . H \ v ' ‘ '9 \_ if ""7 3' " ‘7 g." ' 1.!!!" " > . 45g “3:41 )§§ii'fi‘!!!3§1inlgéa;ill - w ‘ . a ‘ ”w /,» MM ' __< ga<'s/,-r W '~ \4 l2" 3-: 7 ‘ '//. \\\‘!/I\ /// / dun-u...- - k x ‘- . ,_:wmnvem ..... , . ~ / m ’j. ’1 r i a? 'l .' 5 f I fig-7‘ . ‘ -, \‘ r ’ .4 » ,1 ., V ’ / \‘ 5 “8,, 7’ r- 4‘ >11 ' 1.’( .. {v " I“ I n LES PREMIERS BEAUX JOURS \ / / °-" ‘ ~ " ‘ u 4’ 5 ‘2 I; , MW -' ' _" I . WM“ 5 /' x . r0; Q:r:q/’ _—- . haw-“J ~ n, 1 . .: ' K I‘ ‘2 ”1’ .- Ea?» _ {.‘fi‘ “3, ‘2‘ u '1'“? I \ a ‘ V g,, \ ‘90“ng )k“! \fi’t’ my {'1' ’5’ ”(‘3 1'1 a7: «6‘ 4 1‘ .- iy fl. .. . 5.9% NR ' \ f5 ’74,?” f , \ *"' " " \fi / .1 {fl 3;. ‘ ‘3‘ ' '\ 1’. -/\" Wig a: r ’ \ ‘ o ‘4 n I“ - f I, k 0 C /// /"'/' Q // fig/W :1, .L,;i;§;{,,.,,////‘ / I. I I 5/. , I ,, 4 . , , 7// z” ,I / // , / [KM V / 4/7 , . / 25/7. ’/ 9 / , , . / fly / 1/ I [I I /’,V"/ y/ , J . / e. l WW " «2’... ' "1 H 'j. p — . . r35 ' , W mun 1.1. // // wmmw- . . ... "WU WW.” (‘1 MODELAGE .. ..... _N\ -D . .u'K -------- ‘ I, r ‘. ;‘ K‘ ////// a” . .,. .5 , r- .V‘ ’7 t 1 ‘ \ ; ' Y‘ I “ ‘ \ V II. I I I a.» O O I v I||lnlllu “3:914 J I I : ’:§;~ I IIEIIII l. I ,' III IIIIIK " 3“!“ . i" o: \x .1 ‘7: 2...: 4‘ ‘ C. ’ II 9o. “. ‘. §\\ 3 . ‘3‘” u l” //\ fifigfi/g K » WWW!!!” " ‘wt “mu I », ,rn‘n M .L/r “ p l. - h "I! ~ “WM“H“ u T POUR LES PAUVRES, S. V. P.! \\\ \\\\\‘ \\\ Wm \WW-m 1'" I vii-z“, EZfl’lrfl’iil-RI ‘ LES VICTIMES DU BAL I .1 f '5‘ If I 5" ”I '1 . ,. x; ,» // , .... . 1/ I ‘ . ' , I ‘. " I, O J .' .’ . _. .." It". ..:'...v“’/..".".:::///;(” ,o: .- . . a DB L’OPERA 32/ ‘ ‘ ,' #3fi533' (VIM ’IQV ”W \\ \ ‘ 6\\ \K' -- I. {5" ‘ 1" ‘_ "v.5 / 7/’ ' / ...... 1‘ ‘ / , / / -ayA»/az?$«*;,y, r404¢g%W%fifw* ‘ - _-' .‘ \H_.' ENFIN SEULS ! m I; “:4er MI!“ 1. I" ‘ mm” MI W I : i . -- ,‘V - .- -~\ "p... ‘ W {M '* Will/W ., Wham I ‘ i ‘ I I ; n I I V-v q .. .a#$n‘ :‘u’ ESPOIR D’AMOUR ‘- 3‘ {\th ” ’ ,, , // ..... / -._;1 a, ‘1' . ' mid-"r" -. fificww g5»? w AVANT LA REVUE o; z; I. i . I . M“ BEATRICE, LANGUES VIVANTES, 5 A 7, RUE DE LONDRES § \ \ r" __"\\‘\Q Q”! \ ' K/ ////////7//// L’HONNEUR EST SAUF! 05,“, a ‘_ iii. , ‘ ¥ ‘ I; - ' i . 7 .xf“"’_.;:;‘— sew \ga ”NI! ., “ CC " -- « ~ ,4 ‘ "sob. ’ . ’4‘" :1 I ‘ " f g; 2;; f I ' ._ ’ [Hr u" A. ‘nmwh ' . 7 V. .7 , f ’1‘; IHH [7M “W” I LE CO’RSAGE DE MADAME NE \ ,' ,/T o I / jg; / ////), . . I, n (/I/Ifi/ // /" /7 b" V ‘ 14 //ll: I%//Ié ' l./'/ // ,' I! ’// ;// / / ;» HEW; v- II} ’”If: Prix 5 francs.